"Mon Mozart à moi" est une plaisanterie musicale comme les aimait Mozart, alternant mots, fantaisie et improvisations au piano solo, puissance de l'orchestre symphonique, intimité des formations de chambre, l'humour des sérénades pour cordes et l'érudition de Jean-François Zygel. Sans public, mais dans un dispositif créé spécialement à la Halle aux Grains à Toulouse, le téléspectateur est le seul témoin d'une histoire musicale intime et des échanges entre Zygel et l'orchestre. Jean-François Zygel rappelle, par exemple, que l'improvisation était autrefois le coeur des concerts classiques. Il raconte aussi la création du croissant né par le siège de Vienne.